Tout commence dans la petite patrie intérieure

Ce que la majorité silencieuse a dans les tripes

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Le 27 septembre dernier, un abonné du Monde s'exprimait dans les colonnes du quotidien pour exprimer son dégoût par rapport au climat délétère que la presse des journaleux fait planer sur notre pays. Vous savez, ces journalistes médiocres qui s'intéressent à ce qui intéresse le public et qui oublient qu'ils devraient en principe intéresser le public à ce qui les intéresse.

 

Pour le lecteur du monde Adnan R. on assiste aujourd'hui a des actes de traitrises, de soumissions et de honte de soi; des virus qui portent en eux-mêmes les germes d'une politique de subordination à quiconque voudra bien anéantir cette identité française si honnie.

 

Pendant que les canards rient, pendant que le Paris qui chante et qui danse flirt avec les bons mots et les anathèmes en tout genre le peuple est condamné à voir sa patrie chérie jetée en patûre aux loups du mondialisme sauvage et du dogmatisme libertin de Bruxelles, Francfort et Genève.

 

Mais ce que les "vendeurs de morts" ont oublié dans leur frénésie court-termisme c'est que la patrie ce n'est pas eux qui la font. L'identité française ne se construit pas à coup de papiers qu'on imprime et qu'on brûle. A chaque joie et à chaque peine qui nous traversent c'est une parcelle de France qui vibre. Les larmes d'amertume nourrissent aussi la terre.

 

Par sa chronique du 27 septembre le lecteur Adnan R. représente la majorité silencieuse du pays qui attend avec impatience, la boule au ventre, que la presse française et les collaborateurs du XXIème siècle changent de camp, se reprennent en main et se responsabilisent à nouveau.

 

Messieurs les journalistes, cessez de débusquer le "bon mot" qui devient pour une journée le scandale du siècle, "faites enfin ce que vous ne faites plus depuis longtemps, votre métier."

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